Viedebatardeprave

Master J n'est pas son vrai pseudo mais dans un soucis de respect, je ne donnerai pas son réel pseudo.

En général les plans avec Maître J durait toute la soirée et le début de la nuit avec des pauses et tournait autours d'éléments simples et répétitifs comme la suce, le service de la queue, la baise, le bondage et le spanking. C'était agréable mais pas suffisant.

Nous prévoyions un service long par semaine et le reste n'était que du bonus. Lorsque je me présentais chez lui je devais me déshabiller dans le salon et placer mon collier de slave qu'il m'avait donné lors de la signature du contrat. Je l'attendais a quatre pattes, le cul bien en l'air et ouvert pour lui.

Il venait ensuite et inspectait mon corps pour vérifier qu'il soit lisse et propre comme il me l'ordonnait avant de me donner ses chaussures à lécher pendant un moment. J'aime beaucoup lécher les chaussures et les pieds et cela plaisir a Maître J. Très vite Maître J me demandais de venir lui sucer la queue qu'il avait longue et épaisse avec un cockring pour faire durer le plaisir. Je prenais sa queue en bouche et il allait jusqu'à la chambre pour s'asseoir dans le fauteuil et se relaxer.

Je le sucais alors longtemps, en commençant lentement et en allant toujours profondément car c'est cela qu'il aimait particulièrement. Pendant ce temps, il sniffait du poppers ou fumait une cigarette pendant que je servais sa queue avec plaisir. Cela pouvait durer de longues minutes avant qu'il ne décide que je pouvais mériter de recevoir son jus et il me le faisait savoir en me disant de "tirer son jus comme une bonne salope". C'était le mot code pour que je commence à le sucer plus rapidement et intensément pour récolter son jus de mâle. Souvent nous ne bougions pas mais il me demandais parfois de me coucher sur le lit pour me baiser la gorge et y larguer son jus en fonction de ses envies. Il aimait les gorges profondes mais m'autorisait parfois à garder le jus en bouche et l'avaler en savourant le goût.

Par la suite, je devais garder sa queue en bouche et poser ma tête sur sa jambe pendant le repos. Je m'amusais à têter sa queue comme un biberons pendant de longues minutes et il aimait cela, il me caressait la tête en contre partie et me couvrait d'une couverture. C'était le moment que j'appréciais le plus car je me sentais protégé.

Par la suite commençait soit une nouvelle phase de suce ou de baise ou un plan bondage. Dans le cas du bondage, Maître J me faisait mettre debout et bondait mon corps avec une corde qui restreignait mes mouvements soit en positions debout ou cul offert si il voulait me baiser. Cela s'accompagnait souvent d'une session de spanking avec un paddle ou un martinet.

Lorsque Maître J voulait me baiser, il me faisait mettre en levrette sur le lit avant de lubrifier mon cul et de me pénétrer, lentement d'abord et ensuite plus profondément avant de commencer des mouvements de grande amplitudes de plus en plus rapide. Les positions variaient et soit Maître J prenait les commandes ou je devais moi-même m'empaler sur sa queue. Après avoir découvert que j'avais une réaction aux parfums des lubrifiants, les sodos se sont mieux passées car la sensation de brûlure occasionnée étaient réellement pénible et Maître J était sensible à ma douleur.

Après la baise, je finissais très souvent couché sur le lit pour que Maitre J me baise la gorge et se vide dedans avant que je reprenne le service de sa queue tranquillement jusqu'à la fin ou un nouveau round en fonction de l'heure et de l'excitation de Maître J.

J'étais en chasteté tout le temps et parfois autorisé à enlever la cage et jouir avant la fin de la session et le moment où nous allions nous coucher dans les cas où je devais passer la nuit. Je garde un très bon souvenir de mes services auprès de lui même si des éléments importants semblaient devoir nous séparer.

Je n'ai pas beaucoup de photos de plans avec Maître J mais c'est mieux que rien.