Mardi 4 mars 2 04 /03 /Mars 20:37

Bonjour à tous,

Voici le rapport du bâtard pour le séjour chez ses Maîtres partie 1/5 – Les photos viendront après

Le lundi matin le bâtard était excité de partir servir ses Maîtres à nouveau. Il l s’est levé et conformément aux ordres à rapidement fait un lavement car il lui était interdit d’aller à la toilette dans le train, il ferait mieux d’être vidé donc.

Il prit un premier train pour se rendre jusque la gare internationale où son train partais 30 minutes plus tard et il commença à chercher des jeunes hommes avec de beau basket pour réaliser la mission de ses Maîtres : dire à chaque beau jeune homme avec de beau basket qu’il les trouvait beau (les baskets). Sur le quai il vit un jeune homme, très beau et musclé qui avait de très beau basket en toile et qui semblait être étranger. En attendant le train il regarda longuement les chaussures et quand le garçon le remarqua, il lui dit en anglais qu’il les trouvait vraiment jolie mais ma conversation n’alla pas plus loin. Il monta dans le même wagon que lui  mais s’assis seul sur une banquette pour avoir la table pour ses lignes de punition. Le bâtard devait copier 2000 fois « Un homme a des couilles, un bâtard à des noisettes. Je suis un bâtard donc ce qui pendouille entre mes jambes sont des noisettes » car il avait fait l’erreur d’appeler ses noisettes de couilles au séjour précédent et ensuite 2000 fois « Il n’est pas bien de dire bien Maître à ses Maîtres » car le bâtard à encore du mal a passer du « bien Maître » au « oui Maître ». Le déchet connaissait sa punition depuis longtemps mais il pensait que ses 8h de trajet seraient suffisant pour faire sa punition.

Il commença à écrire et cela dura jusque Metz pendant 3heures au moins mais la punition n’avançait pas vraiment car les phrases étaient longue et le train parfois remuant. Quelques personnes le regardaient avec amusement en le prenant pour un garçon puni et obligé de faire des lignes, ce qu’il était au final mais personne ne se doutait de ce qu’il écrivait. Ordonné de porter le ball stretcher depuis samedi, le port en plus de la cage se coinçait parfois, ce qui était douloureux à certains moments

Ensuite il fit quelques pauses pour éviter d’avoir trop la nausée mais continua sans arrêt à écrire ses lignes jusque Mulhouse, jamais un trajet n’alla si vite en train, il voyait le temps filler et ses lignes ne pas augmenter. Il se dit qu’il arrêterait à 110 pour commencer les autres et aller jusque un maximum. Il arriva à la fin des 110 un peu avant la gare de Mulhouse et commença  l’autre dans le hall de gare en attendant le train suivant. Dans le train suivant, cela secouait assez bien et le déchet ne pu pas écrire aussi longtemps qu’il voulait mais surtout il avait repéré un super laskard vraiment bien bandant qui avait des Adidas un peu usées qui faisaient vraiment kiffer le bâtard. Il s’assis près de lui mais sur la même banquette, il était de l’autre coté du couloir et il imaginait la scène qui pourrait se produire : le laskard était blond et semblait assez peu enclin a discuter. Le bâtard imaginait qu’il lui disait que ses chaussures pourrie était vraiment belle et que le laskard lui répondait « T’es une petit tafiolle qui kiffe les pompes crade de laskard hein ! » avant de s’énerver, de le trainer dans les chiottes du train avant de lui foutre un coup dans le ventre pour qu’il se retrouve à terre et de lui écraser la gueule avec ses pompes en disant « Voilà pédale, tu les goute mes pompes à présent ». le bâtard serait excité et le laskard le voit alors il lui baisse son froc et son caleçon en le traitant de gros dépravé avant de cracher sur son doigt et de lui fourrer dans le cul pour le doigter violement en lui disant « C’est une vrai chatte vide que t’as là, je suis pas pédé mais je vais m’arranger pour te la remplir » avant de bloquer le bâtard la gueule a terre avec son pieds dessus pour qu’il présente bien son cul, tenir sa taille avec son bras musclé pendant qu’il prenait des tonnes de PQ qu’il enfonçait dans la chatte du bâtard sans ménagement avant de lui cracher dans la gueule en disant « sale porc, tu vas rester comme ça jusqu’au terminus, ta chatte bien pleine de PQ ensuite tu te cassera comme ça ».

Entre temps de cette rêverie le train était presque arrivé, le déchet avait sa nouille excitée dans sa cage et il préféra ne rien dire que laskard car il sentait que cela ne serait pas bien pris et risquait probablement de se faire insulter mais aussi peut-être un peu bousculer et qu’on lui pique ses affaires.

Dans le dernier train pour la ville de ses Maîtres, les gens étaient debout et il y avait en face de lui un homme d’une trentaine d’année qui avait de très jolie Adidas toute nouvelles, le bâtard les regarda longtemps, lui souri et lui dit qu’elles étaient très jolie. L’homme le remercia mais ils ne parlèrent pas plus.

Une fois arrivé à la gare, le bâtard vit Isklaver et fut heureux de retrouver son Boss et de pouvoir le servir une semaine lui et Maître ISK. Il faisait chaud et son Boss était en training. Ils marchèrent une dizaine de minutes et le bâtard espérait pouvoir lécher la transpiration de son Boss une fois rentré. Sur une côte, ils furent dépassé par un joggeur en tenue de jogging moulante et qui était bien suant, le bâtard fut excité et presque au même moment son Boss lui dit « ça te fais envie ça hein bâtard ! ». Il l’avait bien cerné.

Boss expliqua au bâtard qu’il avait décidé de priver le bâtard de ses récompenses données par Boss pour qu’il se rende compte de ce que cela lui apportait comme plaisir. Le bâtard avait commis l’erreur de trop se focaliser sur le négatif lors de son premier séjour sans considérer les nombreux cadeaux fait par son Boss, il allait donc voir cette fois ce que cela faisait d’en être privé. Boss dit au bâtard que souvent il portera un préservatif pour la fellation afin que le bâtard n’ait pas le goût de son phallus en bouche, qu’il ne lui donnerait pas sa pisse et surtout pas son jus de la semaine. Il devrait servir et plaire à Maître ISK pour obtenir ses fluides de vie. Le bâtard fut triste mais bien excité que Boss lui apprenne qu’il doit voir son phallus et ses fluides comme une récompense et pas un service.

Une fois arrivé à la maison, le bâtard alla dans la salle de bain pour se déshabiller et il vit sa gamelle et sa tasse personnalisée « Tinytoy », il fut très content de voir ça et très excité car il se sentait appartenir a ses Maîtres et il sentait avoir une place dans la maison. Il vit la pisse de Maître ISK mais il en fut privé car un reste de détergeant dans le récipient rendait la pisse imbuvable, le bâtard fut déçu car il aurait voulu gouter de la pisse mais il eu très vite une autre chose à gouter pour se consoler. Toujours a genou au sol, il vit Boss prendre une seringue remplie d’un jus blanc que son Boss lui fourra en bouche avant de presser rapidement pour lui expulser le précieux jus de Maître ISK dans la gueule, le bâtard avala, honoré de ce cadeau de son Maître, il était dans l’ambiance à 100% à présent.

Le bâtard eu son collier et sa laisse, il retrouva la sensation d’appartenir et d’être contrôlé, le collier est réellement quelque chose qu’il aime porter. Il fut emmené à la salle de jeux et put renifler les chaussettes de Isklaver qu’il avait porté pendant des jours et qui sentait bon, une odeur magique pour un bâtard. Il du lui enlever ses chaussettes et commença à lécher les pieds. Il voulait faire cela chaque jour lors de chaque vénération des pieds de Maître ISK en photo : pouvoir à nouveau lécher des pieds.

Le bâtard profitait et Boss semblait bien aimer car il a vite baissé son jogging et caleçon mais interdiction de toucher pour le bâtard, il remonta sur les dessous de bras de Boss, encore une fois chargé d’odeurs divine, le poppers des bâtards avant de lécher ses tétons et son torse.

Après quelques minutes, Boss ordonna au bâtard d’aller chercher une capote sur la console et de mette sur sa queue, le doux bruit de la capote qu’on déchire et enfille, un bruit que le bâtard adore et allait souvent entendre. Il s’exécuta et commença à sucer son Boss, le goût et la présence de la capote était vraiment humiliante car il considérait vraiment cela comme une utilisation de lui comme un objet ; il faisait plaisir au Boss sans pouvoir goûter son sexe, il se dit que cela pétait un excellente façon de lui apprendre que c’est un honneur de pouvoir y gouter.

Ensuite Boss voulu prendre le cul de son bâtard. Le sac a foutre était en manque et cette baise bien brutale de Boss fut la meilleure qu’il n’a jamais eue de sa vie. Boss le pénétra bien a fond, parfois rapidement, parfois lentement, parfois brutalement en lui remplissant la chatte a fond. Ils changèrent de position et le bâtard se retrouva sur le dos, la position était plus douloureuse car il n’est pas habitué à cet angle mais pouvoir regarder Boss le défoncer était vraiment excitant même si il n’osait pas trop regarder ce Dieu en action. La défonce fut tellement rapide et puissant que le déchet sentit une brûlure dans le dos avec le frottement de la moquette et il porta une marque sur sa colonne. Boss décida d’un dernier changement de position, Boss baisa le bâtard en levrette et le bâtard posa sa tête sur la moquette et les mouvement créèrent une mini brûlure au centre de son front, brûlure qu’il avait déjà eu auparavant et qui laissaient une ligne gouge et puis brune sur son front ! La marque des bâtards bien baisés. Le bâtard se dit que cela devrait être une marque reconnue dans le monde entier et que chaque lope a foutre devrait se faire niquer une fois brutalement sur une moquette pour garder cette marque.

Après la défonce du bâtard, le déchet baisa les pieds de Boss en le remerciant de cette baise, il était réellement heureux de cette défonce et voulait remercier son Boss sincèrement de lui avoir apporté tant de plaisir résiduel en prenant le sien. Boss se coucha, jeta la capote et le trou lui lécha les tétons jusqu’au moment ou Boss joui. Boss éjacula une énorme quantité de sperme que le bâtard aurait voulu avoir en bouche, c’était une vraie torture et Boss jouait de la situation : il trempait sa queue dedans, faisait tourné son jus avec. Le bâtard supplia tellement il avait envie mais Boss lui dit que c’était hors de question et le bâtard fut envoyé chercher de l’essuie tout – son rival de toujours !

Ensuite Boss demanda les lignes du bâtard et celui expliqua qu’il n’avait pas terminé et avait besoin d’être puni. Dans le train il avait réfléchit à une punition qu’il proposa à son Boss : 1 coups de raquette électrique pour 100 lignes non faites à propos des noisettes et 1 fessées pour 50 lignes non faites sur le « Bien Maîtres » espérant que ses Maîtres ne réclament pas un coup pour chaque ligne non faites.

Le bâtard proposa sa punition : 19 coups de raquettes électriques sur les noisettes et 39 fessées sur les fesses. Boss accepta allant chercher la raquette électrique. Les 10 premiers coups furent douloureux mais supportable, après cela devint plus douloureux et après le 15ème, le bâtard avait vraiment mal mais acceptait cette punition bien méritée et il devait assumer les conséquences de son erreur. A la fin de la première punition, le déchet fut heureux de savoir que Boss n’avait jamais donné autant de coups de raquettes électrique à la suite et il se senti vraiment fier de lui-même.

Ensuite Boss administra les 39 coups entre fessée et martinet, la douleur était supportable car le déchet se remettait encore de ses coups sur les noisettes. Vers la fin c’était plus douloureux mais le bâtard pris sa punition sans broncher car il avait merdé encore pour ces lignes là aussi.

Boss lui frotta le corps et lui expliqua ensuite que ses Maîtres avait prévu de faire de lui une table a manger et cela très souvent une fois qu’il serait entrainé à tenir sans bouger. Boss expliqua que la première demi heure était facile et que la difficulté survenait l’heure d’après mais qu’ensuite après 1h30 il pourrait tenir sans problème une soirée car ses muscles seraient engourdi. Le bâtard était très excité par cette idée de servir de meuble à ses Boss, à deux ou avec des invités mêmes. Boss lui expliqua que son Maître reviendrait avec un Macdo et que donc cela serait un petit repas pas trop long pour une première fois en table. La nouille du déchet était toute gigotante d’anticipation pour ce soir.

Boss lui donna des genouillères pour l’aider à rester à genou dans la maison et surtout sur le carrelage du salon et lui dit que cela irait ensuite bien mieux avec de l’entrainement. Le bâtard était content car cela lui apportait du confort et allait pouvoir renforcer le service qu’il offrirait à ses Maîtres au cours de la semaine. Le séjour précédant il commençait à avoir assez mal et cela se ressentait dans on son service malheureusement.

Boss fit ensuite rédiger au bâtard une lettre à son Maître pour lui demande de lui accorder sa pisse et sa semence, vu que Boss ne le ferait pas et qu’il fallait bien que le bâtard garde sa forme humaine et ne se transforme pas en chien et en larve ensuite. Le bâtard supplia donc par écrit son Maître de bien vouloir lui accorder ses fluides de vie. Le bâtard imagina que c’était peut-être finalement le meilleur moyen de le dresser a servir son Maître en tant que souffre douleur, l’obliger en rendant son Maître seul fournisseur de son fluide vital. Bien que essayer les différents stade : clébard, larve, objet utile, objet inutile excite beaucoup le bâtard, il espérait pouvoir recevoir beaucoup de fluides de son Maître.

Le déchet remonta avec Boss et nettoya la plaque en verre pour la table et ensuite servi de repose pieds jusqu’à l’arrivée de Maître ISK. Les genouillères marchaient bien même si il restait une douleur mais qui était entièrement supportable et qui rappelais au bâtard qu’il était là pour servir ses Maîtres surtout. Il remercia son Boss d’avoir pensé à lui. Lorsque Maître ISK arriva, Boss prépara rapidement le bâtard en table de salon : le bâtard était a genou, bras semi fléchit et la plaque en verre fut posée sur son dos. Sa tête pouvait ou non servir à soutenir la table mais Boss dit que cela serait plus difficile. Les bras de chochotte du bâtard allait être la faiblesse car il fallait les garder semi fléchie, non pas sur les coude ni entièrement droite ce qui est bien plus facile. Bien que cela était difficile le sentiment premier du déchet fut d’être réellement excité de servir de table à ses Maîtres et de les entendre manger et discuter au dessus de lui comme avec une table normale.

Maître ISK constata que la table tremblait, le bâtard avait du mal à tenir dans les bras surtout et essaya de stabiliser avec sa tête pour ne pas offrir un mauvais service à ses Maîtres. Au cours de leur repas, Boss a à donné à manger une potatoes au bâtard pas dessous la table comme on donne à un chien. Le bâtard a été super excité par cela, il était une simple table que l’on nourri et c’était vraiment humiliant et excitant. Le repas de ses Maîtres s’était terminé et ils restèrent ainsi un moment en laissant leur déchet et leurs boissons sur la table. Le bâtard sentait exactement où se trouvait le poids mais ses bras fléchissaient de plus en plus.

A la fin du repas, le bâtard est redescendu avec Boss pour son repas à lui : les reste d’un hamburger et un délice de banane crème nourrit au pieds de son Boss, le meilleur plat du monde pour le moment en attendant de gouter le suprême double banane au jus de Boss mélangé en trou lope et dégusté encore chaud.

Après son repas, le déchet remonta avec Boss pour reprendre le linge pendant que Maître ISK se reposait sur la balancelle/lit extérieure. Le bâtard servit de repose pince à linge, Boss les plaçait sur son corps à chaque fois qu’il dépendait un linge du fil. Une fois terminé les pinces furent enlevée et le bâtard fut appelé par Maître ISK, au pieds de la balancelle, a genou dans l’herbe. Maître ISK demanda au bâtard si il avait été puni et si il avait fait ses lignes correctement. Il répondit que non et que Boss l’avait puni pour ses lignes et expliqua sa punition. Boss ajouta que il avait eu 19 coups et que jamais il n’avait donné autant à la suite, Maître ISK sembla content mais dit au bâtard que il allait le repunir à chaque fois que Boss l’aurait puni dans la journée. Le bâtard trouva cela très excitant d’avoir une seconde punition de chaque Maître et le bâtard pris 19 coups sur les couilles et 39 sur les fesses.

Une fois la punition administrée, Maître ISK décida de faire du poney avec le bâtard et il monta sur son dos pour un tour du jardin en le frappant sur les fesses pour le faire avancer. Le bâtard fut très excité même si son corps de chochotte n’offrait pas un bon poney mais il a bien aimé être traité en animal, il à hâte de pouvoir essayé les étrier de bâtard/poney. Des étriers pour que les Maîtres puissent reposer leur pieds et qui sont attaché aux noisettes des bâtards, cela doit être réellement excitant même si douloureux ! Une fois le tour fait, Maître ISK s’est remis dans la balancelle et a décidé de torturer le bâtard, il avait son regard sadique. Le bâtard décida qu’il allait résister à son Maître pour tester sa réaction, un peu stupide mais cela lui apprit une leçon très importante.

Boss lui pinça les seins pendant que son Maître regardait, comme cela ne faisant pas trop mal le bâtard  n’avait pas réaction, Maître ISK voulait voir la douleur donc à décider de passer aux coups sur les noisettes, le bâtard sentait bien les coups mais essaya de rester impassible et a ce moment le bâtard senti que son Maître allait essayer de le casser. Sur le coup il se dit qu’il avait été stupide mais c’était trop tard. Maître ISK a demandé à Boss d’aller chercher toutes les pinces et de lui placer sur le corps, le bâtard résista en regardant son Maître dans les yeux pour qu’il puisse lire en lui. Le bâtard avait du mal a soutenir le regard de son Maître, parce qu’il était son Maître mais surtout parce qu’il a toujours eu du mal a soutenir le regard de quelqu’un…la soumission du bâtard je suppose.

Maître ISK fit ensuite faire les exercices au bâtard, des pompes et des mouvements de bras, la encore le bâtard tenait et essayait de ne rien montrer et Maître IKS demanda à Boss d’aller chercher des poids pour les mouvement de bras. Après un moment cela devint très difficile, Maître ISK demanda d’aller chercher le martinet pour motiver le bâtard, cela devenait très excitant mais très difficile et rapidement il n’en pu plus et Maître ISK accorda la fin de l’entrainement, il avait gagné la première partie vu que le bâtard n’avait pas pu tenir. Boss voulu enlever les pinces mais Maîtres ISK dit que les pinces resteraient jusqu’à ce que eux les oublies car le bâtard les garderaient longtemps. Le bâtard essaya de gagner cette manche sur la résistance à la douleur…grossière erreur, un bâtard ne gagne jamais !

Le bâtard alla ensuite faire le lit de ses Maîtres avant de les rejoindre au salon pour servir les pieds de Maître ISK. Il lui expliqua comment faire pour bien le masser mais le bâtard avait peur de lui faire mal. Boss vient lui montrer l’exemple et dès à présent le bâtard sut ce que Maître ISK voulait et pouvait le servir correctement, ce qui avait été un gros problème le séjour précédent.

Pendant le service des pieds de Maîtres ISK, il lui demanda comment allait les pinces et le bâtard du reconnaître que elles commençaient à lui faire assez mal et il supplia qu’on les enlève. Boss se leva pour les enlever mais Maître ISK voulait savourer sa victoire. Maître ISK très excité, se rapprocha du bâtard et lui pris la tête en lui ordonnant de ne pas quitter ses yeux, il y a avait un regard sadique dans les yeux du Maître qui jubilait car il savait qu’il avait gagné et que le bâtard venait de réaliser que son Maître gagnerait toujours, quelle que soit la situation. C’était une des rare fois que le bâtard ressentait la réelle puissance d’un homme sur lui, qu’il sentait la supériorité de son Maître. Boss et Maître ISK enlevèrent des pinces en mêmes temps en frottant la zone juste après, la douleur était forte et le bâtard regardait Maître ISK avec son regard de vaincu et de soumis, il avait testé et avait perdu, à présent il servirait Maître ISK comme un bon bâtard soumis car celui-ci avait montré sa dominance. Le déchet après avoir repris ses esprits de la douleur donna sa lettre à son Maître qui lui répondit « qu’on verrait bien ! »

Après cela le bâtard fut utilisé en repose pieds par Boss, une version plus confortable et agréable que celle standard. Le bâtard est assis au pieds du fauteuil sur son coussin son Boss mets ses jambes sur ses épaules et lui donne ses pieds à sentir ou joue avec sa tige. Le bâtard pu regarder la télévision et se senti bien en sécurité à l’abri de tout entre les jambes de son Boss. Se tenir entre ou contre les jambes d’un domi et surtout de ses Maîtres comme un chien est toujours un réconfort que le bâtard apprécie car il se sent vraiment en sécurité et en confort, il a l’impression que rien ne pourra lui arriver et que ses Maîtres veilleront toujours sur lui.

Le bâtard alla finalement préparer son lit avec un matelas de camping supplémentaire pour ses hanches, il était très reconnaissant pour ce cadeaux fait pour son confort et pour ses hanches.

Le bâtard alla se brosser les dents dans la cuvette des toilettes avant de se mettre dans son lit de bâtard pour passer la nuit. Il dormi bien même si il fut réveillé par sa tige qui bougeait dans la cage comme chaque nuit.

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Par viedebatardeprave - Publié dans : Vie du bâtard au service de ses Maîtres
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