Viedebatardeprave

Salut à tous,

Pendant sa quête quotidienne de bon porno, le bâtard trouva ce blog link et en particulier les deux textes du soumis qui racontait son cheminement en tant que pédé au service des mâles, qu’ils soient hétéro ou homo. Le bâtard a été vraiment marqué car il peut fortement se reconnaître dans cette histoire même si il n’a jamais été la tête de turc de son école, il s’est quand même toujours senti « en dehors »

Partie 1

Partie 2

Le déchet à décider, inspiré par cela de réfléchir à son parcours et de vous le faire partager car depuis qu’il est enfant, il a toujours senti qu’il était différent et un peu dépravé même si cette société dans laquelle on vit ne le permettait pas vraiment.

A l’école, le bâtard était doué, parfois un peu glandeur mais très doué et les professeurs apprenait aux enfants que chacun avait des capacités différentes mais que tous étaient égaux, que personne n’était mieux qu’un autre à cause de cela, ce que le bâtard a toujours eu difficile de faire rentrer dans sa caboche et pour cause, il n’en était pas convaincu. Il était assez menu et il n’était pas un de ces canons de beauté. il était normal et avait pas mal d’amis mais il se souvient que dès l’enfance il était fasciné par les garçons, les petites frappes, les sportifs de la classe, ceux qui semblaient destiner à être les mâles du futur. Il se souvient que pour leur plaire, il les aidait souvent, ils prêtaient ses devoirs, apportait des supers ballons de foot à l’école même si lui aimait pas y jouer. Il aimait quand ces garçons étaient contents de lui et cela présageait clairement sa volonté de service future. Il savait au fond de lui qu’il n’était pas comme eux et qu’ils étaient en quelque sorte supérieure à lui rien que par leur nature interne.

Chez lui, ses parents étaient de super parents, il avait un père qui bossait beaucoup et faisait pas mal d’argent et il passait beaucoup de temps avec sa maman et sa sœur. Il était très proche d’elle et sa maman lui a toujours appris que l’important était d’être heureux dans ce qu’on faisait même si il y avait des règles à respecter. Il a toujours été un peu de trop gâté et cela impliqua beaucoup de ses réfléxions futures, il n'a jamais vraiment été habitué à prendre un non comme une réponse et a assumer ses erreurs. 

A coté de cela, il se sentait déjà différent, pas « homo » car il ne savait pas vraiment ce qu’il aimait et ce que cela voulait dire mais il se sentait déjà dépravé. Bien avant de découvrir les joie de la masturbation, il savait que lorsqu’il pensait à certaines choses, et qu’il se frottait sur le sol comme une larve, il se sentait bien et déjà très excité. Quand il était petit il avait des fantasmes étranges Le bâtard se frottait souvent contre le sol en jouant dans ma chambre ou dehors dans le jardin et je me créais en tête des scénarios ou j’étais toujours le soumis ou où j’étais forcé à faire des choses que je n’aimais pas. Il imaginait être malmené par des petites frappes, être enfermé, kidnapper.

En grandissant, le bâtard commença à se sentir encore plus intéressé par le corps de ses camarades dans les vestiaires et à la piscine. Il était pas à l’aise devant tant de mâles et même si il se sentait pas vraiment mal dans sa peau, il avait déjà en lui le sentiment de pas être à sa place, de pas avoir le droit d’être à coté de ces mecs en train de se changer et de s’exposer librement le paquet. Le déchet continuait à être fasciné par ces types qui avec les années prenaient de plus en plus de maturité, de superbes corps et commençait à s’affirmer en tant que mâle supérieur. Le bâtard ne fut jamais brimé mais il se soumettait volontairement au pouvoir de ces mâles en faisant la seule chose qu’il faisait correctement : le travail scolaire. Il en à donné des réponses et des devoirs pour éviter à ces mec de trop bosser et vivre tranquillement leur vie de mâles.

C’est aussi vers 15/16/17 ans qu’il découvrit un peu plus sur lui. Il se rendit compte qu’il aimait les garçons et que donc il était homo. Il en était vachement fier depuis le début car il sentait qu’il avait besoin de quelqu’un qui devrait le dominer et il se voyait déjà avec un mec plus grand, plus musclé, plus dominateur. Il découvrit aussi le porno à ce moment, discrètement sur l’ordinateur familial et d’aussi loin qu’il se souvienne il était excité par les mâles plus dominant : les machos, les bears, les musclés et aussi par les légère scènes SM de bondage, d’humiliation, de pisse…il avait l’impression d’être une jarre vide et que chaque chose qu’il voyait l’emplissait de déviances. Ce qu'il aimait surtout faire c'était imprimer les images et créer des histoire avec - ayant toujours été plus cérébral que vraiment physique. Il fantasmait sur des scénarios ou il était la salope bien utilisée.

Il entra ensuite à l’université, jeune à 17ans seulement, puceau et toujours menu et il continua à fantasmer sur les mâles de son université, Il y découvrit un tout autre univers. Il était dans la fac d’économie et il reste convaincu qu’on y trouve les plus beaux mâles du monde : ces petits arrogants bien foutu que le bâtard vénérait réellement, des beau mecs sportif, des sorteurs invétérés et populaires, tout un paquet de mâles merveilleux, des vrais que le bâtard vénérait réellement sans jamais oser quoi que ce soit de plus loin que la camaraderies. Il les mattait surtout dans les chiottes des hommes en train de pisser dans les urinoirs alors que le bâtard se retirait dans les toilettes. Il n'a jamais pissé debout d'aussi loin qu'il se souvienne, pas par gêne de son corps mais simplement parce qu'il estimait que ce n'était pas sa place, qu'il n'avait pas le droit de pisser debout à coté de ces mâles et de poser un regard sur leur membre viril mais il ne manquait pas de passer après et de sniffer le tout. Ces chiottes d'université puaient la pisse, les odeurs était incrustée même quand elles étaient propre et c'était l'horreur pour tous mais pour le bâtard c'était un rêve.

Pendant ses années, il se rabattait alors sur le porno qu’il découvrait petit à petit avec ses déviances, des mots comme « esclave » « bâtard » « lope » mais aussi « SM » « Uro » « Scat », il s’excitait beaucoup et bien qu’il se branlait à présent comme les autres, il continuait souvent à juste s’exciter la nouille contre son jeans ou son matelas avant de se répandre dans son lit ou dans son froc. Il restait parfois des journées entières dans ses caleçons foutreux.

 La suite avec ses premières expériences sexuelles, SM et sa découverte de ce monde, de ce qu’il était – né pour servir les mâles comme la bonne pute qu’il était.