Mardi 4 mars 2 04 /03 /Mars 21:40

Salut à tous,

Voici un post que beaucoup d’entre vous attendais : des domis qui s’intéressait au dressage du bâtard mais aussi sûrement quelques lecteurs j’espère qui avait remarqué le manque lors de la précédente session.

Un bref rappel pour les nouveau, lors de sa session précédente le bâtard devait être puni pour avoir contacté des domis sans l’autorisation de ses Maîtres mais devait aussi subir une séquestration de 24h dans la cage. Tout cela ne s’était pas fait à cause d’une maladie du bâtard et d’un renvois chez lui…..mais le mal est réparé

Le bâtard ne vous fait plus attendre et vous livre son récit du samedi, de sa punition et du début de sa séquestration !

 

Le samedi le bâtard s’est levé vers 9h avec un service des pieds et des phallus de ses Maîtres. Cela fut très excitant. Il fut super excité quand son Maître à remis la couverture sur le bâtard comme si de rien était, comme si il n’était qu’une pompe placée sur son membre. La pipe ne dura pas longtemps mais le bâtard put enfin goûter au précieux jus de son Maître, abondant, gouteux et liquide qui emplit bien la gueule d’un bâtard. Il prépara ensuite le déjeuner de ses Maîtres après avoir reçu le sien.

Il rangeât ses affaires et alla faire un massage à son Maître. Boss entra avec un mouchoir en papier  et lui mis sous le nez, il s’était branlé et avait juté dessus. Le bâtard le mis immédiatement en bouche pour en extraire l’essence pendant son massage de son Maître.

La matinée se passa tranquillement, le bâtard put manger et ensuite se reposa aux pieds de ses Maîtres fatigués et leur servit les pieds sur demande jusque 15h

Après 15h le bâtard travailla dans le jardin de ses Maîtres, habillé pendant que ceux-ci était parti en ville acheter des plantes. Le bâtard bécha et retourna la terre dans les parterres pendant quelques temps avant de continuer à travailler dans le jardin après le retour de ses Maîtres.

Vers 18h Boss arriva, froid et distant et pris le bâtard pour l’amener dans le cagibi ou se trouve la cage, il plaça la bâtard dans la cage, lui mis son ballstretcher qu’il attacha a deux menottes aux pieds du bâtard pour qu’il ne puisse tendre ses jambes sans arracher ses noisettes. Il mis 2 pinces aux tétons du déchet avec un poids, lui ouvrit la gueule avec un gag et menotta les mains du bâtard dans son dos. Le déchet était a genou dans la cage et Boss lui dit qu’il était temps pour sa punition non faite de la dernière fois, qu’il allait devoir apprendre. Boss s’éloigna et revint ensuite avec un onguent sur ses doigts qu’il fourra dans et sur le trou du bâtard avant de le couvrir d’un drap, de fermer la cage et de lui souhaiter une bonne nuit.

Le bâtard se retrouvait là sans pouvoir bouger facilement et l’onguent commença rapidement a chauffer et piquer le trou de la chienne qui se rappela que c’était sa punition pour avoir contacté d’autres domis sans l’autorisation de ses Maîtres et puis lui apprendre que tout ce qui n’est pas introduit sans autorisation préalable de ses Maîtres dans sa chatte doit le bruler comme en ce moment. La sensation de brûlure dura un bon quart d’heure approximativement, cela fut désagréable mais pas autant que le bâtard s’y attendais, une sorte d’avertissement de ses Maîtres. Une fois la sensation passée,  ce fut les pinces qui commencèrent à obséder l’esprit du déchet avec la douleur.  Après une heure, Boss revint et demanda au bâtard si il voulait plus de confort pour sa nuit avec de lui ordonner de le prouver en passant son pied par les barreaux.

Le bâtard, hautement motivé, lécha et suça aussi correctement et passionnément que le permettait le gag qui le faisait baver partout comme une chienne sur les pieds de son Boss. Après quelques minutes Boss enleva ses pieds et accorda au bâtard d’enlever les menottes, le gag, les pinces et le laissa dans la cage avec sa couverture. En refermant le tout Boss souhaita bonne nuit et parti.

Le bâtard resta dans la cage et comme il faisait encore lumineux cela allait, il eu le temps de se préparer. Il entendit un scooter avec une voix assez jeune qui répondait à son Boss qu’il reviendrait après. Le bâtard pensa que c’était peut-être un autre soumis qui allait jouer le bâtard pour ses Maîtres lorsqu’il était en cage et peut-être même qu’il allait pouvoir se voir et partager la cage mais lorsque la mobylette revint, rien ne se passa et le bâtard n’entendit rien. Le bâtard était quand même très excité pendant tout ce moment

Boss arriva enfin avec un carton de pizza et le bâtard compris que la mobylette était le livreur et qu’il resterait seul dans sa cage au final. Boss vint avec des croutes et de la pisse pour le repas du déchet. Le bâtard avait faim et il se jeta sur une croute qui commença à le piquer en bouche et fit rire son Boss. Le bâtard se rappela la seconde partie de la punition qui dit que sa bouche aussi appartient aux Maîtres et que toute volonté d’y introduire quelques choses sans autorisation doit aussi être sanctionné par la même punition. Ses Maîtres avait mis de la sauce piquante sur les croutes. Le bâtard mangeât et bu tout de même avec appétit.

Ensuite Boss propose au bâtard des couvertures en plus ou ses chaussettes pour sniffer l’odeur. Le bâtard hésita pensant demander les chaussettes évidemment mais craignant d’avoir froid il choisi les couvertures avant de penser que c’était peut-être un piège. Boss sembla déçu mais donna tout de même les couvertures au bâtard avant de partir en laissant la lumière. Le bâtard prépara son nid pour la nuit en regrettant vite les chaussette de son Boss.

Quelques temps plus tard, probablement vers 23h, Boss revint et amena ses chaussettes odorantes pour le déchet super heureux de cette nouvelle, un bouillotte et un sac poubelle pour que le déchet n’ait pas trop froid la nuit avant de s’en aller sans avoir offert au déchet la chance de le remercier en léchant ses pieds.

La nuit commença alors avec le bâtard en cage, blotti contre la bouillotte et sniffant a toute narines les chaussettes bien fumante de son Boss. La cage semblait plus petit qu’avant car le bâtard eu rapidement des courbatures dans ses jambes qu’il n’arrivait pas à tendre. Il trouva finalement le sommeil, réveillé plusieurs fois par les douleurs de la CB et du ballstretcher qui frottait mais il se blotti dans sa couette avec la bouillotte et les chaussettes sniffante de son Boss.

Pour la suite, cela sera dans le post suivant ! J’espère que cela plaira aux personnes concernées, le bâtard a kiffé de son coté en tout cas.

Merci Maîtres

Par viedebatardeprave - Publié dans : Rapport de séjour chez ses Maîtres
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