Viedebatardeprave

Au réveil, le bâtard du servir Maître ISK en lui léchant les pieds et en le suçant. Maître ISK a une queue ferme et masculine, comme celle de Isklaver mais plus fine et longue. La simple fellation semblait moins marcher que avec Isklaver car il ne sentait pas les contraction du phallus de Maître ISK jusqu’au moment ou celui-ci prit le martinet pour fouetter le dos et le cul du bâtard. A chaque coup, le déchet sentait le pénis de son Maître se contracter dans sa bouche et l’étouffer. C’est à ce moment que le bâtard pris réellement conscience que ce qui excitait son Maître.

Ensuite le bâtard du se fouetter lui même pendant que Maître ISK regardait en se masturbant avant de jouir et d’offrir son jus à lécher sur son corps au bâtard, un bon jus de mâle supérieur qui fit le plaisir du bâtard. Maître ISK parti à la douche et le bâtard se fit bourrer par Boss avec force, sans trop de lubrification et à nouveau une gueule de chien qui aboyais « non » mais un trou de chienne qui s’ouvrait en un « oui ». Isklaver sentait bien que la chatte du bâtard réclamait ce phallus et en avait besoin dès le matin car il en a  bien profité.

Après cela, le déchet alla jouer le rôle du tabouret de Maître ISK à la douche mais le Maître ne resta assis que quelques secondes avant de s’asseoir sur le vrai tabouret et demander au bâtard de continuer à l’essuyer avant de le redonner aux soins de Isklaver pour la douche du bâtard. Le bâtard est un frileux et craignait particulièrement la douche froide mais la température était bonne. Se laver à genou devant Isklaver et ensuite s’essuyer avec la serpillère était un moment bien. Par la suite vient le moment de remettre la cage enlevée pour la douche. Le déchet ne parvenait pas à débander mais Isklaver a une bonne technique pour faire rentrer une tige dans la cage : des coups à la raquette électrique sur ses noisettes qui firent rapidement le bâtard forcer sa tige dans la cage pour éviter d’en avoir d’autres. Isklaver plaça également le ballstretcher qui apportait une sensation de lourdeur fraîche et agréable malgré les blessures sur la tige du bâtard à cause de l’anneau de sa cage.

Une fois bien propre et en cage, le bâtard à continué à repasser avec des pinces aux seins jusqu’au moment ou Isklaver apparu avec le collier électrique. Le bâtard voulait essayer cela depuis longtemps car il trouvait cela très excitant, les sensation était excitantes bien qu’il n’eu que très peu de chocs au final. Il aurait voulu que Isklaver joue avec pendant que le bâtard repassait en mettant les vibrations ou les chocs mais le bâtard se dit qu’il ne le faisait peut-être pas de peur que le déchet se blesse avec le fer à repasser en cas de surprise ou pire, qu’il abime le matériel de ses Maîtres.

Vers midi, le bâtard eu droit à son repas, un vrai délice : les deux bananes avec de la crème écrasée par les pieds de Boss et nourrie à la gueule du bâtard l’on vraiment ravi, il était content que le plat qu’il avait voulu essayé se soit présenté au final et sa petite nouille a été excitée tout le long du repas alors qu’il se gavait du plats et des pieds de son Boss

Après cela, ils restèrent en bas et allèrent dans la salle de jeux pour que le bâtard serve Isklaver mais avec la douleur due aux blessures sur sa tige, c’est à ce moment que le bâtard perdit le contrôle à cause de la douleur qui était comme le frottement sur une plaie ouverte. Il utilisa dans sa pathétique tête embuée de déchet le mot « couilles » pour référer à ses deux pathétiques noisettes. Isklaver le punit avec dix coups de raquettes électriques. Débordé par ses émotions, le bâtard pleura et Boss le réconforta un moment en lui expliquant la raison de la punition mais le débordement émotionnel allait plus loin. Il fut laissé un moment à penser là toujours avec son ballstretcher en attendant le retour se son Boss.

Isklaver revient, enleva le ballstretcher et fit attendre le bâtard pendant qu’il préparait sa pommade. L’attente fut longue dans la position « assise » stricte et le bâtard ne voyait pas vraiment ce que Isklaver préparait comme produit. Le déchet dépravé et lubrique imagina un scénario fantasme de Isklaver en train de préparer un espèce de drogue qui allait faire perdre connaissance au bâtard et que celui-ci allait se retrouver ferrés aux bras, jambes et cou et que le ballstretcher aurait été soudé à ses noisettes pour ne plus jamais être enlevé. Il serait laissé dans une salle et resté attaché là toute sa vie à voir défiler des domi en tout genre qui prendrais plaisir avec le bâtard en payant à la minute Maître ISK et Isklaver. Rien de tout cela n’arriva heureusement (ou pas). A la place il pu s’installer plus confortablement et dormir un peu en attendant que la vraie pommade soit prête. Il ne pu pas se coucher sur le coté car ses hanches lui faisait trop mal et somnolât donc légèrement couché sur dos.

Le bâtard vu envoyé nettoyer la cage dans laquelle il passerait la nuit, dans un appenti extérieur à la maison mais à l’abri de la météo. C’était très excitant de voir a cage et de nettoyer, il était très curieux de passer le nuit dedans mais pensait qu’il aurait droit à un petit matelas tout de même ou que le sol ne serait pas si dur mais sa réflexion fut de courte durée car dès qu’il termina de nettoyé il fut plaqué sur la cage et entendit le doux son du sachet de la capote qu’on ouvre, le son de la capote qui se déroule sur le phallus d’un mâle annonçant la saillie proche. Un crachat en lubrifiant et Boss le bourra à nouveau. A nouveau des gémissements de douleur mais lorsque Boss arrêtait et restait en lui, le trou de pute ne pouvait s’empêcher de se reculer encore et de se serrer, invitant Boss à le déchirer. Le bâtard vivait presque avec étonnement cette situation de son esprit lui disant de faire que cela s’arrête mais de son trou n’écoutant pas et envoyant le message contraire.